L'amour pour moi, c'est....

Publié le par Domamido

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Résultat d'un test sur psychologies.com je m'y reconnais assez bien.

L’amour pour vous, c’est la tendresse conjugale


Votre représentation de l’amour repose sur une compréhension profonde. L’amour n’est pas un sentiment qui se suffit à lui-même, mais bien un projet où le couple s’inscrit dans une construction. Vous prenez soin de le nourrir de tendresse, de bienveillance et de petites attentions. Votre socle : un esprit d’ouverture et de curiosité pour l’être aimé. Votre vision de l’amour révèle une forme d’intelligence qui suppose que l’amour se "travaille".

Dans cette représentation de l’amour, le couple donne à chacun la modalité de son être. L’un comme l’autre se découvre, jour après jour au fil d’une vie commune. Ce qui compte c’est la manière de construire ensemble. La bienveillance prédomine. En cas de conflit, le « je » s’efface au profit du nous. La notion de dialogue est au cœur de la relation.

L’écueil : A trop vouloir y travailler, le risque de passer à côté de la nature de l’amour, existe. On peut alors se priver de vertus comme la surprise, la spontanéité, la fantaisie. Si l’amour demande qu’on y travaille, en revanche, il est préférable de renoncer à devenir un expert. Se sentir encore et toujours un débutant permet de laisser place à l’inattendu.

 

L’amour, c’est pour vous : un imbroglio relationnel

Vos relations amoureuses semblent s’inscrire dans le registre de la complexité. Vous aimez dirait-on, mais sous condition que l’autre change, enfin qu’il soit différent. Entre lui et vous, l’incompréhension domine, même si vous y êtes très attaché(e). Vous montrez sans doute des signes de jalousie, qui vous empoisonnent l’existence. Du coup, vous avez de l’amour un goût amer, où la colère et la frustration sont souvent au rendez-vous.

Cette vision de l’amour s’accompagne d’une forme de possession. L’autre vous appartient, en quelque sorte. C’est pourquoi vous pouvez sentir un état d’agacement quand votre amour ne se comporte pas comme il le devrait, selon vous ! Ce n’est pas tant d’être possessif qui représente un obstacle, mais le fait de croire que c’est une preuve d’amour.

L’écueil : Vous paraissez confondre attachement et amour. L’attachement est humain, nous ne sommes pas parfaits, bien sûr. D’autant plus qu’en ce domaine, notre inconscient brouille les cartes à chaque tentative de nouer un lien amoureux. Le reconnaître est déjà un premier pas vers l’amour véritable qui suppose un espace de confiance et de joie. De dénuement aussi, qui laisse l’être aimé libre d’être qui il est vraiment.

 

L’amour pour vous, c’est la passion sinon rien

Votre seul credo en amour est lié à l’intensité, quand ce n’est pas la démesure. Vous donnez tout sans compter, ni vous ménager. Essentiel, voire crucial dans votre existence, l’amour vous donne votre qualité d’être. Et vous ne craignez pas de vous brûler à son feu. Une certaine dimension héroïque peut colorer votre représentation. Tout ce qui peut s’apparenter à une organisation en sa faveur, ou pire encore de tiédeur en est exclu…

Votre représentation de l’amour est de type passionnel, empreint de fièvre sensuelle. Souvent vécue comme dévastatrice, la passion concerne en réalité une petite marge des quêteurs amoureux. Sans doute votre rapport à l’amour est-il à la mesure de votre ambition en ce domaine, et l’audace et la virulence de vos appétits vous ont permis de vous affranchir de certaines craintes. Vous vous inscrivez dans la tradition des grands amoureux qui se revendiquent de Tristan et Iseult, ou de l’Amour Fou d’André Breton.

L’écueil : Il arrive que l’on veuille à toute force que le partenaire partage cette intensité et y réponde sur le même mode. Ce qui n’est pas toujours possible. Le mieux serait de réussir à être plus tolérant. Attention aussi à ne pas « aimer » pour l’intensité des émotions que cela vous procure, et non pour l’autre. Plus qu’un objet de fascination, l’intensité doit rester l’occasion de célébrer l’amour.

L’amour, c’est pour vous l’amour sacré

Votre vision de l’amour ouvre à quelque chose de plus grand qui vous dépasse. Lorsqu’il vous traverse, vous répondez à son appel. Aussi simplement que la feuille se plie au jeu du vent. L’expérience peut alors toucher au sacré, et la notion d’âme sœur vous est peut-être familière. Finalement, aimer n’est pas tant un projet ou une histoire personnelle, qu’une façon de vous accorder au monde.

Cette forme d’amour repose sur le désir d’une profonde harmonie. La confiance est là, et l’amour qui vous habite quasi palpable… Plus que des yeux qui brillent, ou une légère euphorie, c’est davantage une forme de plénitude qui émane de vous… pouvant même rejaillir sur votre entourage. Votre regard n’est pas seulement tourné vers l’être aimé, mais bien posé sur le monde, que ce soit un enfant, ou une fleur… Empli d’émerveillement, et parfois de compassion.

L’écueil : Si l’amour contient toute entier les aspirations pour le sacré, il n’en reste pas moins que la réalité offre certaines aspérités… La mélodie que vous composez ensemble peut également comporter des fausses notes. Qu’il faudra prendre en compte si l’on veut que l’amour trouve son chemin. Attention à la tentation de croire que la magie opèrera, y compris en cas de forts différents.

 

Publié dans Philo de la vie

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