D’abord, de la médecine douce
De l’avis de mon mari et de mes amis, je couve une bonne dépression nerveuse. C’est possible, mes nerfs ont été soumis à rude épreuve ces derniers temps, succession de moments heureux et d’autres, plus déstabilisants ; interrogations quant à mon avenir professionnel, difficultés pour communiquer avec mes proches et amis. De quoi chambouler n’importe qui !
J’ai rendez-vous vendredi prochain avec mon médecin. Hors de question, pour moi, de prendre des antidépresseurs sans avoir exploré, avant d’en recourir à ces extrémités, à la médecine douce, l’homéopathie, qui s’est déjà avérée efficace sur moi : gelsemium et ignatia me semblent particulièrement indiqués.